
2031, Les Gardiens de l’Ombre : survivre à la guerre invisible
Bienvenue en 2031. Depuis cinq ans, une guerre numérique oppose les États-Unis, la Chine et la Russie. Des intelligences artificielles attaquent pendant que d’autres défendent. Les civils et entreprises, eux, sont des cibles vulnérables.
Le quotidien sous tension
Lucas, 42 ans, dirige une PME innovante à Toulouse. Il a vu ses concurrents disparaître après des cyberattaques fulgurantes. « Aujourd’hui, recruter sans une vérification cyber, c’est suicidaire. » Même les écoles et hôpitaux ne sont plus épargnés.
Emma, 16 ans, a été victime d’un deepfake malveillant diffusé sur les réseaux. Harcelée, elle a dû quitter son lycée. « Mon identité numérique a été volée. Je veux me battre pour éviter ça aux autres. »
L’Europe contre-attaque
Face à l’escalade, la France et l’Allemagne prennent les devants. Un programme massif de cyber-protection est lancé, et une « nation digitale » voit le jour pour les réfugiés du cyberespace.
En Occitanie, un écosystème unique se met en place. Dès 2027, la région impose un passeport “Entreprise Cyber Secured”, tandis que le PESSIE (Pôle d’Excellence en Sécurité des Systèmes Informatiques et Électroniques) forme hackers éthiques et experts en cyberdéfense.
Nassim, 24 ans, y étudie la cybersécurité. « On ne se contente pas de réagir aux attaques, on les anticipe. On construit un véritable système immunitaire numérique. »
Une nouvelle norme éducative
Désormais, l’accès à Internet passe par un permis Web, obtenu dès 11 ans. Dans les écoles, les cours de cybersécurité et d’identité numérique sont devenus aussi essentiels que les mathématiques.
Dans ce monde en perpétuelle mutation, une chose est sûre : ceux qui maîtrisent la cybersécurité ne se contentent plus de protéger des données, ils protègent des vies.
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Issus de nos travaux de recherche et de prospective avec la Cité de l’Economie et des métiers de demain